Le cap Horn est un laboratoire naturel pour la science et un territoire essentiel pour mener des recherches ayant un impact mondial.
Un groupe de médias internationaux a visité la réserve de biosphère du Cap Horn lors d'un voyage organisé par la Fundación Imagen de Chile dans le but de faire connaître les recherches scientifiques menées à l'extrême sud de la planète.
CNN en Español et les agences France-Presse et Thomson Reuters se sont rendus à Puerto Williams, la ville la plus méridionale du monde, pour découvrir les installations du Centre subantarctique du Cap Horn, qui ouvrira bientôt ses portes, et explorer la nature intacte qui a fait de la région un lieu privilégié pour l'étude des effets du changement climatique.
Les journalistes ont également visité le parc ethnobotanique d'Omora et le Cerro Bandera en compagnie d'une délégation de scientifiques du Centre international du Cap Horn, dirigée par le philosophe et écologiste Ricardo Rozzi, qui a expliqué les particularités géographiques qui font de cette région un laboratoire naturel pour la science et un territoire fondamental pour mener à bien des recherches ayant un impact mondial.
Le cap Horn abrite les forêts les plus méridionales du monde et constitue l'une des régions les plus vierges de la planète, puisqu'elle conserve encore plus de 70 % de sa végétation d'origine.